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Vos questions, nos réponses

Vous vous posez des questions à propos de la fin de vie ? Vous souhaitez avoir un éclairage sur une notion, une loi, une pratique, etc. ? Vous avez assisté à un événement de l'EREBFC sur le sujet et n'avez pas pu poser votre question ? L'EREBFC vous propose un espace "Vos questions, nos réponses" dans lequel vous pouvez poser votre ou vos interrogation(s) sur le sujet de la fin de vie. Pour cela, il vous suffit de formuler votre/vos question(s) dans notre formulaire.

Formulaire
 

Vos questions 

Les réponses aux questions posées sont proposées par le Dr Sandra FRACHE, Pédiatre responsable de l’Equipe Ressource Régionale Soins Palliatifs Pédiatriques du CHU de Besançon, Co-directrice de l’EREBFC et le Dr Isabelle MARTIN, Gériatre, Vice-Présidente du Conseil d'Orientation de l'EREBFC. 

 

A propos de l'existant...

    Les soins palliatifs

  • Comment développer la culture de prise en charge en soins palliatifs au sein des services non dédiés, notamment en services à orientation gériatrique ?

Notre réponse 

  • Dans la définition de douleurs "réfractaires" est ce qu'on inclut la souffrance psychologique, morale, spirituelle ?

Notre réponse 

 

   La sédation

  • Quelle est la différence entre la sédation profonde et continue/la sédation légère et proportionnée ? Dans quel cas peut-on appliquer l’un ou l’autre ? A-t-on le droit de pratiquer la sédation longue et continue à la demande d’un patient en France ?

Notre réponse 

  • Comment peut-on évaluer un pronostic à court ou moyen terme ? Quels sont les critères objectifs d'évaluation de ces délais ?

Notre réponse 

  • La sédation profonde et continue jusqu'au décès est-elle vraiment au point ? J'ai découvert le mot "tachyphylaxie" qui met le doute sur la question...

Notre réponse 

 

A propos des possibles évolutions...

  • Comment peut-on affirmer qu'en cas d'ouverture d'une aide à mourir, il n'y aurait pas de dérives ? Quels sont les gardes fous proposés ?

Notre réponse 

  • Comment déterminer si une demande de suicide assistée ou d'euthanasie n'est pas la manifestation d'un état dépressif qui, dès lors, doit être pris en charge en tant que tel ?

Notre réponse 

  • A propos du "libre choix" de décider de mourir pour abréger des souffrances insupportables : de quelle liberté parle-t-on alors qu'il n'existe que très peu d'alternatives (ex : déserts médicaux, absence d'UMSP ou même de SP dans certains hôpitaux) ?

Notre réponse 

  • De quelle manière, dans certains états des USA, est fixée à 6 mois l'horizon du pronostic vital ?

Notre réponse